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Illustrations par Sophie Daxhelet, workshop à l’Ihecs avec les étudiants de Master 1 Macs, pochoirs par les étudiants en typographie à l’ERG
Clients - Mélanie Godin, L’Arbre de Diane
Entre 2017 et 2019, nous avons collaboré avec Mélanie Godin sur un projet culturel radical et passionnant qui consistait à créer 4 cartes ludiques pour une « chasse à la poésie » dans tout Bruxelles. Ces œuvres d’art cartographiques indiquaient l’emplacement de courts poèmes à caractère éphémère, disséminés dans plusieurs communes. La porteuse de projet Mélanie Godin, également éditrice de L’Arbre de Diane, a fait appel à Piknik pour la conception graphique, tandis que Sophie Daxhelet a réalisé des illustrations fantaisistes personnalisées.
Les poèmes, issus d’ateliers d’écriture, rédigés par des poètes confirmés ou novices, ont été imprimés sur des pochoirs en carton et appliqués dans l’espace public. Grâce à des typographies sur mesure (crées par les étudiants en typographie à l’ERG) et une encre uniquement visible au contact de l’eau, ils apparaissaient sous une averse, comme par magie, sur un trottoir, des marches ou un mur. Puis, ils disparaissaient à nouveau, dans l’attente de la prochaine pluie.
Le but de ce projet ? Capturer le caractère éphémère de la poésie et aborder la question de la mémoire, tout en réunissant la population locale bruxelloise autour d’une expérience commune. Peauésie célèbre ainsi la fugacité de la poésie, un miroir de notre propre fragilité.
Peauésie a reçu le prix Bruocsella en 2017.
Entre 2017 et 2019, nous avons collaboré sur un projet culturel radical et passionnant qui consistait à créer 4 cartes ludiques pour une « chasse à la poésie » dans tout Bruxelles. La porteuse de projet Mélanie Godin, également éditrice de L’Arbre de Diane, a fait appel à Piknik pour la conception graphique, tandis que Sophie Daxhelet a réalisé des illustrations fantaisistes personnalisées.
Les poèmes, issus d’ateliers d’écriture, rédigés par des poètes confirmés ou novices, ont été imprimés sur des pochoirs en carton et appliqués dans l’espace public à l’aide d’une encre uniquement visible au contact de l’eau, ils apparaissaient sous une averse, comme par magie, sur un trottoir, des marches ou un mur. Puis, ils disparaissaient à nouveau, dans l’attente de la prochaine pluie.
